piątek, 12 lutego 2010

I/ARTYKULY

1/ "HORACE WALPOLE" esej A.Wladyki-

Horace Walpole "Le château d'Otrante"
Le premier roman gothique et moderne créé au XVIII siècle.
Le « gothique » nous envoie surtout à l'architecture et à l'art sacral. Pourtant, il décrit aussi un style littéraire moderne représenté par "Le château d'Otrante".

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Les histoires horribles de toute sorte ont été racontées dans toutes les époques. La tradition littéraire nommée confusément de "gothique" est en réalité le moderne développement du roman, avec le sujet caractéristique de l'étranglement qu'exerce le passé sur le présent ou l'empiètement des époques "sombres" de l'oppression sur la "lumière" de l'époque moderne. Les éléments typiques du "gothique" sont les suivants : les endroits enfermés et hantés, comme par exemple: les vieux châteaux, les cryptes, les couvents ou les sombres manoirs; ils sont en ruines où à l'état de la décadence, les situations présentées dans un livre gothique sont remplies d’épisodes d'emprisonnement, de la cruauté et de la persécution.
Horace Walpole, l’auteur du premier roman gothique.
Horace Walpole (1717 – 1797) est le plus jeune fils du Premier ministre britannique Sir Robert Walpole. Il étudie au collège d'Eton, puis à King's College de Cambridge. Fasciné par le passé, il créé «Le château d’Otrante», le premier roman « gothique » jamais écrit en anglais et véritable texte fondateur où tant d’écrivains puiseront abondamment pour en tirer clichés, situations, atmosphère et personnages très codés, est en quelque sorte la transposition littéraire de passion architecturale de Horace. La demeure de Walpole, Strawberry Hill, près de Twickenham, est un ensemble fantaisiste de style néogothique qui crée une nouvelle tendance architecturale. En 1764, il publie son roman gothique "Le château d'Otrante" créant un style littéraire allant de pair avec l'architecture
"Château d'Otrante" le premier roman gothique.
Le premier roman expérimental du genre gothique, écrit en partie pour s'amuser est "Le château d'Otrante", 1764, de Horace Walpole. La 2e édition de son œuvre, 1765, porte le sous titre "l'histoire gothique". Le roman raconte une histoire pseudo-shakespearienne d'une famille empreinte d'une malédiction qui anéantie la dynastie princière de l'usurpateur Manfred dans le 12e siècle, qui tente d'épouser la fiancée de son fils décédé.
Une vague des romans gothiques est notée en Grande-Bretagne et en Irlande pendant les trois décades après 1790 culminant dans :
- Anne Radcliffe "The romance of the forest", 1791, "Les mystères du Château d'Udolphe", 1794

- Mary Shelley « Frankenstein », 1820
Les thèmes du roman gothique continuent toutefois de nourrir toute la littérature anglaise jusqu'au XXe siècle, de Charles Dickens à Mervyn Peake en passant par Joseph Conrad. On peut d'ailleurs parler, au tournant du XXe siècle, d'une mode romanesque dite "néogothique" avec des œuvres aussi célèbres que « L'Étrange Cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde » (1886) de Robert Louis Stevenson, « Le Portrait de Dorian Gray » (1890) d'Oscar Wilde ou encore le « Dracula » (1897) de Bram Stoker, tant l'imaginaire et les codes esthétiques du genre originel abreuvent le style et la structure de chacun des récits, même si beaucoup préfèrent toujours parler de "littérature fantastique", voire de roman d'horreur.
"Le fantastique" comme un élément gothique dans "Le château d'Otrante"
Le fantastique remonte, via un adjectif latin « fantasticum », au verbe grec « phantasein » : « faire voir en apparence », « donner l’illusion », mais aussi « se montrer », apparaître, lorsqu’il s’agit de phénomènes extraordinaires. La « phantasia » est une apparition, tout comme le « phantasma », qui désigne aussi un spectre, un fantôme (on trouve ce dernier emploi chez Eschyle et Euripide).
Dans le roman de Horace Walpole différents prodiges se manifestent : apparition d’une main géante, statue pleurant des larmes de sang, portrait sortant de son cadre et présence dans la cour du château d’un heaume gigantesque qui écrase le fils de l’usurpateur et dont les aigrettes frémissent parfois mystérieusement. Walpole utilise ces éléments comme de véritables objets de théâtre.
Le développement de l’action dans le château d’Otrante.
"Le château d'Otrante" présente l'histoire de Manfred, seigneur du château, et de sa famille. Le livre s'ouvre sur le jour du mariage de son fils malade Conrad et de la princesse Isabelle. Peu de temps avant le mariage, toutefois, Conrad est mort écrasé par un casque gigantesque qui tombe sur lui d'en haut. Cet événement inexplicable est particulièrement sinistre à la lumière d'une ancienne prophétie "que le château et la seigneurie d’Otrante devrait passer de la famille actuelle, chaque fois que le propriétaire réel doit être pris trop d'ampleur pour l'habiter. Manfred, effrayé que la mort de Conrad marque le début de la fin pour sa ligne, se résout à éviter la destruction en épousant Isabelle lui-même en instance de divorce de sa femme actuelle Hippolita, qui il estime qu'elle n'a pas réussi à lui donner un héritier convenable. Toutefois, les tentatives de Manfred à une deuxième union sont perturbées par une série d'événements surnaturels impliquant l'apparition de nombreux artefacts surdimensionnés et parties de corps ainsi que l'arrivée du vrai prince, Théodore de Falconara.
La modernité du roman dans la perception du lecteur du XXI siècle.
Le thème du divorce paraît moderne et antique à la fois. A l'époque antique c'était un sujet tragique, souvenons nous de "Médée" d'Euripede. Aujourd'hui il est repris par le film qui l'adouci ou banalise sans renoncer à souligner la gravité humaine du problème (par exemple dans le film "Divorce" avec Ch. Scott Thomas). Regardons comment le sujet est-il présenté dans notre roman gothique de Walpole. Manfred, père des enfants adultes désire éloigner son épouse Hippolita et d'épouser la princesse Isabelle amie de sa fille Mathilda et l'ex fiancée de son fils mort. Manfred désire assurer ainsi sa descendance masculine et il va droit au but sans aucun regard aux sentiments de sa femme et sa fille qui se retrouvent humiliées par le comportement du prince, père et époux. Pourtant le prince Manfred pense garder une certaine dignité dans l'affaire, car il n'oblige pas son épouse légale à demander à sa rivale Isabelle d'accepter son mari comme époux. Quelle ignominie! "Il (prince Manfred) ne ménagea aucun argument plausible, aucune insinuation pour lui (Hippolita) arracher son consentement ou même sa promesse de favoriser le divorce. Il n'était pas besoin de beaucoup de persuasion pour amener Hippolita à se plier à son désire. Elle tenta de le gagner à l'idée d'abdiquer le pouvoir ; mais voyant l'inutilité de ses exhortations, elle l'assura que, dans la mesure où sa conscience le lui permettrai, elle n'élèverait aucune objection contre un divorce ; mais elle refusa de s'engager à le demander elle-même".
Les enfants souffrent toujours le pire confrontés au divorce de leurs parents. La princesse Mathilda, assassinée par son père qui croyait donner la mort à la fugitive Isabelle, lui pardonne à condition "- Oui, je te pardonne... puisse le Ciel confirmer ce pardon!... mais, tandis que j'ai encore assez de vie pour le demander... Oh! Ma mère, quelle sera sa douleur !... Vous la consolerez... Monseigneur... vous ne la répudierez pas ?... elle vous aime vraiment...". Le sacrifice humain, bien qu'involontaire, expie-il le pêché du Prince Manfred ? "Au matin, Manfred signa son abdication avec l'approbation d'Hippolita et tous deux entrèrent dans les couvents voisins".
Manfred, l'époux trouve toutes sortes de justifications pour divorcer de sa femme, mère de leur deux enfants Conrad et Matilda: "...des raisons d'Etat, de très urgentes raisons, ma sécurité personnelle et celle de mon peuple, exigent que j'aie un fils. Il est inutile d'en attendre un d'Hippolita; j'ai fait choix d'Isabelle... (...) "Hippolita m'est alliée au quatrième degré - il est vrai que nous avons obtenu une dispense. Mais j'ai appris qu'elle avait aussi été fiancée à un autre. C'est là ce qui oppresse mon âme."
D'autre part, la bonté des jeunes filles modèles princesses Isabelle et Matilda est touchante (...) "Les princesses révélèrent alors à Hippolita leur commun penchant pour Théodore et l'intention qu'avait Isabelle de l'abandonner pour Mathilda". Isabelle déclare à ce sujet: "Puis-je m'abaisser à souhaiter d'être aimée d'un homme qui, sans nécessité, m'a révélé son indifférence." Pourtant après la mort de Mathilda les circonstances vont décider que c'est elle qui deviendra l'épouse de Théodore "...la douleur de Théodore était trop récente pour accepter l'idée d'un autre amour. Pourtant après de fréquents entretiens avec Isabelle au sujet de sa chère Mathilde, il se convainquit qu'il ne connaîtrait le bonheur que dans la compagnie d'une femme avec laquelle il pourrait, tout au long de sa vie, s'abandonner à la mélancolie qui avait possession de son âme."
Les princesses pensent surtout au bonheur de l’autre quand elles aiment le même homme.
Nous constatons ainsi que la problématique de l'œuvre, bien qu'écrit au XVIII siècle, ne peut être de plus moderne: le divorce, la souffrance de l'épouse rejetée et des enfants croyant aux idéaux humains.
La composition, le roman est partagé en cinq chapitres pour bien développer l'action, les personnages qui sont ceux du premier et du second plan, le style, l’humour du roman prêtent aussi à penser qu'avant tout c'est un roman moderne. Le vocabulaire autour du fantastique: démons, spectre, casque fatal, cloîtres, château, ruines, le fantôme, l'ombre etc. nous met rapidement dans l'ambiance et le jeu. Le roman a été écrit pour amuser et nous nous amusons très bien, surtout au feu de la cheminée, pendant les longues soirées d'hiver quand la neige tombe derrière les fenêtres.
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Anna Wladyka


NASZA SZKOŁA W BRZESCIU - Hanna Paniszewa

( artykuł otrzymany z Białorusi - dotyczący powstania i działalności Szkoły Polskiej na tym terenie. Jest to tym ważniejsze, że władze Bialorusi prześladują Związek Polaków , któremu przewodniczy m.in. Anżelikq BORYS, a ostatnio zamknęły Dom Polski w Mińsku.).
Nasza POLSKA SZKOŁA SPOŁECZNA W BRZEśCIU prężnie działa od września 1988 r. (x)
Założyła ją Alina Jaroszewicz - prezes brzeskiego oddziału Związku Polaków na Białorusi. Za 20 lqt przez Szkołę przeszło ponad 2300 uczniów. Blisko 600 absolwentów studiowało lub studiuje na wyższych polskich uczelniuqch . corocznie do nquki
w Szkole przystępuje ponad 300 dzieci i młodzieży. Szkoła zatrudnia 10 nauczycieli m większość z nich to jej absolwencim którzy ukończyli studia łagisterskie w Polsce. Kieruje nią obecnie p. Liliq Potonia. W 2008 roku podczas obchodów Jubileuszu
20-lecia Polskiej Szkole Społecznej zostało nadane imię Ignacego Domeyki oraz dokonano poświęcenia sztandaru Szkoły.
Kadra pedagogiczna Szkoły , jak i współpracownicy należą m.in. do Swiatowej Rady Badań nad Polonią I Swiatowej Korporacji
Domeykowskiej.
Głównym celem działalności Polskiej Szkoły Społecznej jest odrodzenie świadomości narodowej i aktywności społecznej Polaków Brześcia, propagowanie języka polskiego, odrodzenie i rowyój polskiej kultury narodowej na przeoranej przez
sowiecką indoktrynację glebie. Kierunki działalności Polskiej Szkoły Społecznej wynikają z inicjatyw promowania i populary-
zacji kultury polskiej. Za dwadzieścia lat istnienia szkoły realizowane zostały :
[coroczne kursy metodyczne dla nauczycieli, olimpiady języka polskiego i historii, konkursy plastyczne i plenery, warsztaty
artystyczne, dni polskiej kultury, tygodnie filmu polskiegom wystawy i prezentacje m prelekcje polskich naukowców z KUL-u
na wyższych uczelniach Brześcia, programy w Radio Brześć.
Na początku lat 90-tych a szkole odbywała się katechizacja dzieci i młodzieży Brześcia i okolic. Nauczyciele i uczniowie P.S.S.
w Brześciu wraz z Klubem Polskim w Brześciu zorgqnizowali 5 Festiwali "Brzeska Jesień z polską piosenką", Polsko-Białoruski
Festiwal Sztuki Współczesnej(1999), Międzynarodowy Festiwal Młodych Wokalistów im. Stan. Moniuszki pod patronatem prof.
Marii Fołtyn (2001), Międzynarodowy Festiwal "Z Piosenką dla Europy."(2004). Młodzi wokaliści Zespołu "Polesia Czar" pre -
zentowali swoje talenty w Polsce, w Niemczech, we Francji, we Włoszech. Dnia 30-go maja 2000 śpiewali dla Ojca św. Jana Pawła Ii y Sali Klementyńskiej w Watykanie oraz w Bazylice św. Piotra . Polska Szkoła Społeczna przyczyniła się do upamiętnie-
nia ślqdów polskiego patriotyzmu, rekonstrukcji polskich grobów, prac remontowo-porządkowych na cmentarzach polskich w
Brześciu, odsłonięcia tablic pamiątkowych i krzyżym udokumentowania działalności Związku Obrońców Wolności (ZOW) -
polskiej organizacji patriotycznejm działającwej na Polesiu w latach 1945-1948.

W roku 2007/2008, trzy uczennice Szkoły oraz 2 nquczycieli uczestniczyło w programie edukacyjnym I.P.N. -" Opowiem Ci o
wolnej Polsce". Głównym celem programu było dotarcie do świadków historii, którzy mogliby przekazać informacje dotyczące
ich życiowych doświadczeń z czasów najnowszej historii. Relacje te mogą istotnie wzbogacić obraz współczesnej historii, szczególnie dzieje miejscowyach społeczności, które były w czasach radzieckich przedstawione tendencyjnie. W ciągu 6
miesięcy odbywały się bezpośrednie spotkania zespołu ze świadkami wydarzeń historycznych, a mianowicie członkami polskiej organizacji działającej na Polesiu - Związku Obrońców Wolności - która walczyła w latacch 1945 - 1948 o zacho-
wanie polskości ziem wcielonych po 45 r. do ZSRR. Na spotkanie uczniowie przychodzili z opracowynymi pytaniami oraz z bagażem wiedzy podręcznikowej na temat sytuacji jaka zaistniała na ziemiach Drugiej Rzeczypospolitej zaanektowanych po
wojnie przez Związek Radziecki. W ramach poszukiwań powstała bibliografia odnosząca się do historii Z.O.W.-u, która stała się podstawą scenariusza filmu "BYŁ TAKI CZAS"... przygotowanego orzez uczennice w ramach projektu. Jego autorki prze -
prowadziły ponadto kwerendę prasową w bibliotekach Brześcia . zapoznając się z ówczesną prasą partyjną.
FILM ten może posłużyć jako pomoc edukacyjna na lekcjach historii oraz być źródłem wiedzy o losach Polaków, którym przyszło żyć w ZSRR oraz w wyjątkowo okrutnych warunkach walczyć o swoją godność. Obecnie młodzi historycy Polskiej Szkoły Społecznej, przygotowują kolejne wywiady z członkami Związku Obrońców Wolności.

Każdego roku uczniowie P.S.S. wyjeżdżają na letnie obozy edukacyjne i kolonie. Młodzież uczestniczy w pielgrzymkach religijnych do sanktuariów w Rzymie, Monte Cassino, Padwie, Asyżu, Częstochowie, Kalwarii Zebrzydoyskiej, Wadowicach,
Łohiszynie. Budsławiu, a także bierze udział w spotkaniach w Taize. W takiej sprzyjającej atmosferze powstał w roku 1998
w Brześciu młodzieżowy zespół pieśni religijnej. Zespół, noszący od 2005 r. nqzwę "JEDNOść". działa przy Parafii p.w.
Podwyższenia Krzyża Swiętego i brzeskim Oddziale ZPB. Pierwszy album zespołu ," KOCHAM - WIEC NIE LEKAM SIę" - prezen-
tuje twórczość muzyczną młodzieży katolickiej miasta Brześć. Został on zrealizowany dzięki pomocy Ojcó(w Misjonarzy z
Baranowicz i przy wsparciu Klubu Polskiego w Brześciu oraz Fundacji im. T. Goniewicza w Lublinie. Sto płyt pierwszego albumu zostało przekazanych na odbudowę ołtarza głównego w kościele p.w. Podwyższenia Krzyża Swiętego w Brześciu m (prace nad którym trwają od 2005 roku. Zespół występował w Ostrowcu Swiętokrzyskim z koncertem "GDZIES NA KRESACH",
na otwarcie Wystawy "Napoleon Orda [ Litografie z Albumu Widoków Historycznych Polski" - 15-go czerwca 2008 roku,
orqz nq XXV.Międzynarodowym Sympozjum Kościuszkowskim w Maciejowicach - 10 - 12 października 2008 r.
W ciągu letnich wakacji uczestnicy tej grupy śpiewali podczas pielgrzymek do Budsławia i Łohiszyna . w parafiach : Berezy, Prużany i Brześcia . Między innymi zespół przyczynił się do zorganizowania corocznego Festiwalu Religijnej Pieśni w
Łohiszynie na zakończenie pielgrzymki do Cudownego obrazu Matki Boskiej Łohiszynskiej w sierpniu.
Polska placówka edukacyjna organizuje życie uczniów i miłośników polskości według ich zainteresowań.

Przy Szkole działają:

- Klub Miłośników języka polskiego i kultury,
- Klub młodych historyków,
- I Brzeska Drożyna Hqrcerska im. Ryszarda Snarskiego,
- Teatrzyk Dziecięcy "TARABUK"
- Zespoły młodzieżowe "Tqcz młodzi" i "Jedność",
- Chór Polski "Zgoda",
- Klub Inteligencji Katolickiej,
- Koło Lekarzy Polskich,
- Klub Filmu Polskiego,
- Biblioteka Polska, Fono ..i Videoteka,

Działania Szkoły przez trudnych dwadzieścia lat odrodzenia polskiego były możliwe dzięki stałemu wsparciu Fundacji im. T. Goniewicza i jej Prezesa, Jôzefa Adamskiego, Fundacji "Pomoc Polakom nq Wschodzie", Konsulatu Generalnego RP w
Brześciu, Instytutu Pamięci Narodowej w Warszawie, Biura Uznawalności Wykształcenia i Wymiany Międzynarodowej w
Warszawie. a także licznym przyjaciołom w kraju i poza jego granicami.

Rok 2009 okazał się niezwykle napiętym dla Szkoły. ale i bardzo owocnym. Dnia 30 stycznia zostali deportowani polscz nauczyciele P.S.S. w Brześciu przy Zw. Pol. Boj.. w lutym 2009 gazeta obwodowa "ZARIA" oraz wszystkie gazety rejonowe
wydrukowały antypolski artykuł "AśŁitiukowa. pt. " Mazurka s politczeskoj notkoj". gdzie działalność edukaczjna Szkoły
oóprzedstawiona została jako szkodliwa i niepotrzebna. Natomiast popularność Polskiej Szkoły w Brześciu rośnie rośnie, aktywizuje się działalność klubów i stowarzyszeń, rola których i nadal będzie wzrastać. bo dają one możliwość zaspakajania
na dobrym poziomie potrzeb edukacyjnychm kształtowania osobowości, na poszukiwanie wspólnot alternatywnych. stwa-rzają szanse dla jej członków na wyjazdy i wymiany . konferencje naukowe, na festiwale i rajdy, turnieje i mecze poza grani-
całi krajuś Działalność ta podnosi poziom uczestników . wychowując w nich cechy liderów, także wpływa pośrednio i na
miejscowe środowisko , staje się pożyteczną i atrakcyjną dormą wzbogacenia miejscowych społeczeństw i współpracujących
środowisk Polski i Polonii.
Hanna Paniszewa

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